Métier immobilier

4 métiers de l’immobilier qui recrutent

Depuis de nombreuses années, l’immobilier est reconnu dans l’hexagone comme étant un secteur très dynamique. Et ce, aussi bien pour les investisseurs que pour les professionnels qui font tourner le secteur. Selon une étude, plus de 250 000 personnes travailleraient dans l’immobilier en France. Cet engouement peut aisément se comprendre, car la rémunération y est intéressante et les évolutions de carrières nombreuses. Vous avez une formation en immobilier ou envisagez simplement une reconversion ? Retrouvez ici 4 métiers de l’immobilier qui recrutent.

Agent immobilier

L’agent immobilier est un professionnel qui s’occupe essentiellement des transactions immobilières. Il s’agit par ailleurs de l’emploi immobilier qui vous permettra de mieux appréhender le secteur et le rôle de ses salariés. Rendez-vous sur recrutimmo.com si vous souhaitez en découvrir davantage.

Ses missions sont nombreuses, mais la finalité de son travail se divise en deux volets. Soit gérer le transfert de la propriété d’un immeuble, soit de conférer l’usage et la jouissance d’un bien immobilier à un ayant droit. Il se doit donc de prospecter afin d’établir des estimations de différents biens, auprès de potentiels clients.

Une fois les mandats de vente ou de location trouvés, il émet des annonces via différents canaux (presse, sites internet, siège de l’agence). Il pourra ainsi attirer des personnes intéressées qui le contacteront pour des visites pouvant déboucher sur une offre. On peut donc en déduire ses deux fonctions : mandataire et intermédiaire.

Lorsque les différentes parties sont parvenues à un accord, il peut être chargé de gérer la partie administrative. Celle-ci passe notamment par la rédaction de l’avant-contrat (document qui précède l’acte de vente).

Formations et qualités requises

Au minimum, il est indispensable d’avoir un BTS pour pouvoir exercer la profession d’agent immobilier. Ceux qui correspondent le plus sont les BTS Professions Immobilières (PI) et BTS Management Commercial Opérationnel. Il est également possible afin de prétendre à des postes dans des agences plus prestigieuses d’opter pour des parcours licences ou masters.

Dans l’exercice de sa fonction, l’agent immobilier devra :

  • faire preuve d’un sens du contact prononcé ;
  • faire preuve de diplomatie ;
  • avoir un grand sens de l’écoute.

Salaire d’un agent immobilier

Le salaire brut d’un agent immobilier est compris entre 22000 et 80000 euros par an. Cette variation dépend dans un premier temps de son expérience, de l’agence pour laquelle il travaille, de son diplôme et de la niche de biens immobiliers dont il s’occupe. Elle dépend également d’un découpage part fixe part variable. En d’autres termes, en plus de son salaire, sa rémunération peut augmenter en fonction de ses performances et du nombre de biens vendus.

Chargé de gestion locative

Le chargé de gestion locative fait office d’intermédiaire entre un bailleur et un locataire. Il s’approprie et s’occupe de toutes les charges liées à la gestion locative relevant de la responsabilité du propriétaire. Sa mission débute depuis la signature du bail jusqu’au versement du loyer sans oublier l’entrée dans le logement.

Il joue également un rôle de conseiller et oriente en cas de réclamations. Il est donc indispensable que le chargé de gestion locative ait un bon sens du contact et d’excellentes capacités de communication.

Compte tenu de ses qualifications, il peut exercer au sein d’un département, d’une structure communale ou intercommunale ou un office public de l’habitat. Au nombre de ses missions, le chargé de gestion locative doit :

  • s’assurer du paiement des loyers, mais aussi de leurs révisions ;
  • informer ses supérieurs en cas de retard ou d’impayé ;
  • prévenir les litiges ;
  • gérer et suivre les travaux liés au logement ;
  • traiter le dépôt de garantie…

Formations et qualités requises

Il est possible d’exercer le métier de chargé de gestion locative directement après le BAC. À condition cependant de passer par un concours de catégorie B pour devenir fonctionnaire territorial. Celui-ci requiert également un BTS Professions Immobilières ou Négociation et digitalisation de la relation client.

Il est également possible de devenir chargé de gestion locative avec une licence Professionnelle métiers de l’immobilier. Idéalement, un parcours Gestion et administration des biens ou Gestion et développement de patrimoine immobilier fera l’affaire.

Salaire d’un chargé de gestion locative

Au début de sa carrière, le chargé de gestion locative peut espérer gagner à peu près 25 000 € par an. Après quelques années d’expérience, celle-ci peut atteindre 45 000 €.

Gestionnaire de copropriété

Il s’agit d’un professionnel qui administre et régit une maison ou un immeuble. Concrètement, il s’agit d’un mandataire qui représente l’ensemble des copropriétaires d’une résidence. Ses responsabilités sont diverses et regroupent diverses obligations des métiers de l’immobilier :

  • gestion du personnel d’un immeuble ;
  • le contrôle du respect des règlements de la copropriété ;
  • la gestion des contrats d’assurance…

Formations et salaire du gestionnaire de copropriété

Un BTS PI ou un BTS Négociation et digitalisation de la relation client suffit pour accéder au métier de gestionnaire de copropriété. En ce qui concerne leur rémunération, celle-ci est comprise entre 30 000 et 45 000 euros brute par an.

Diagnostiqueur immobilier

Le métier de diagnostiqueur immobilier est une profession d’expertise. Elle consiste à réaliser des constats sur l’état d’un bien immobilier. Généralement, le diagnostiqueur immobilier intervient dans le cadre d’une vente immobilière ou d’une location due à une obligation.

Spécialiste du BTP, il peut également être sollicité en amont à la rénovation d’un bâtiment, mais aussi avant des travaux de démolition. Grâce à une série de diagnostics techniques, il aide à détecter d’éventuels risques pour la sécurité et la santé des habitants d’un bâtiment, mais aussi les risques pour l’environnement. Concrètement, il peut s’agir d’identifier la présence ou non d’amiante, de détecter la présence de plomb, de mesurer la performance énergétique, etc.

Travailleur indépendant et impartial, le diagnostiqueur immobilier se doit de détenir des compétences et des aptitudes dans divers domaines à savoir : le mesurage, les pathologies de bâtiment ainsi que dans le domaine énergétique. Certains professionnels peuvent également travailler en tant que salariés dans des entreprises se spécialisant dans le diagnostic immobilier.

Formations et qualités requises

Il existe de nombreuses formations permettant d’accéder à la profession de diagnostiqueur immobilier. Bien qu’ils soient plutôt communs, un BTS en bâtiment ou un BUT Génie Civil sont parfaitement adaptés. Une licence dans un métier de la construction et du bâtiment conviendra également parfaitement.

Un bon diagnostiqueur immobilier se doit d’avoir un certain nombre de qualités à savoir : l’impartialité, le sens du contact, la rigueur et l’autonomie.

Salaire d’un diagnostiqueur immobilier

De façon brute, un diagnostiqueur immobilier peut être payé à environ 2000 à 2500 euros par mois. Ce qui équivaut à un intervalle compris entre 24 000 et 30 000 euros par an.

Note de frais : quelles sont les professions qui y ont le plus recours ?

Dans l’exercice de leur métier, les salariés du secteur privé et les fonctionnaires sont parfois amenés à avancer des frais professionnels. Connus sous le nom de frais de mission, ce sont des dépenses souvent effectuées pour assurer le déplacement, l’alimentation ou l’hébergement. Ces frais sont remboursés par l’employeur à qui doit être présentée une note de frais. Mais de quoi s’agit-il concrètement et quelles sont les professions qui y ont le plus recours ? Plus de détails dans cet article.

Note de frais définition et principe

La note de frais est un document dont se servent les employés au sein des entreprises et de la fonction publique. Il s’agit d’une fiche comptable qui leur permet de mentionner par écrit tous les fonds personnels qu’ils ont dépensés pour les besoins d’une mission. C’est un justificatif que doivent présenter ces derniers pour se faire rembourser leurs sous. Ce remboursement peut par ailleurs se faire suivant diverses modalités, plus précisément avec :

  • La méthode du forfait ;
  • L’application sur le salaire brut d’une déduction forfaitaire spécifique ;
  • La méthode des frais réels.

Les frais pris en compte par ce document sont le plus souvent les frais de repas, d’hébergement et de transport.

Quelle différence entre une facture et une note de frais ?

De nombreuses personnes confondent la facture et la note de frais, sauf que ces deux fiches ne jouent pas les mêmes rôles. La facture désigne en réalité un document qui mentionne la vente ou l’achat d’un produit ou service. Elle est adressée par l’entreprise à ses clients dans l’optique d’obtenir un paiement des services rendus. La note de frais quant à elle est adressée par un salarié à son employeur pour se faire rembourser les frais de mission.

Qui peut émettre des notes de frais ?

Tout le monde, que ce soit les salariés ou les dirigeants, est concerné par la note de frais. Cependant, celui qui peut émettre ce type de document varie d’une entreprise à une autre. Dans certaines structures, ce sont uniquement les gestionnaires qui sont habilités à émettre une note de frais. Mais dans d’autres entreprises, toutes les personnes qui effectuent des dépenses pour une mission et qui doivent être remboursées peuvent en déposer.

Le remboursement des frais professionnels est en outre une obligation pour toutes les entreprises. Il n’y a que les micro-entrepreneurs qui ne sont pas concernés par l’émission des notes de frais.

Quelles sont les professions qui ont le plus recours aux notes de frais ?

La société MoonCard à travers l’une de ses études rapporte que ce sont les professionnels de la santé notamment les médecins et les pharmaciens qui émettent le plus de notes de frais. Ceux-ci sont suivis par les banquiers et les travailleurs de l’immobilier. Mais de façon générale, les travailleurs qui utilisent le plus ce document sont :

Les professionnels qui doivent se déplacer pour leurs missions

Étant donné qu’ils se déplacent beaucoup pour accomplir leur mission, ces travailleurs peuvent avoir à utiliser leurs fonds personnels à diverses raisons. Ils doivent donc se servir régulièrement de la note de frais. Afin de leur rembourser l’intégralité de ce qui leur est dû, l’employeur devrait même mettre à leur disposition une application de gestion des notes de frais. Celle-ci servira à leur faciliter la saisie et le traitement de leurs dépenses.

Les professionnels qui font des repas d’affaires

Les repas d’affaires sont très importants pour une entreprise. Ils peuvent contribuer à sceller de nouveaux partenariats et à conquérir d’autres marchés. Il est donc important qu’ils soient bien faits. Alors pour cela, les professionnels qui les préparent peuvent avoir à décaisser des sommes de leur compte personnel pour acquérir des ingrédients manquants. Ce montant doit être remboursé à la fin, ce qui justifie l’utilisation régulière de la note de frais.

Et si vous deveniez ophtalmologue salarié ?

Diagnostiquer et traiter les maladies des yeux est le but ultime de tout ophtalmologue. Plusieurs de ces médecins oculistes préfèrent être indépendants et travailler à leur propre compte. Si être au service des gens et leur apporter toute votre aide et expertise est ce qui vous motive, alors vous avez toutes les raisons de devenir salarié dans un cabinet ophtalmologique.

Les rôles et les missions d’un ophtalmologue salarié

L’ophtalmologue joue un rôle important dans la santé des yeux. Il diagnostique et traite les maladies oculaires, corrige les anomalies visuelles et fournis des conseils sur la santé des yeux. Il est appelé à traiter toutes sortes de problèmes de yeux, allant des maladies courantes comme la conjonctivite à des maladies plus graves comme la dégénérescence maculaire. A la suite d’une consultation dophtalmologie, il peut prescrire des lunettes ou des lentilles de contact, ainsi que des médicaments pour soulager les symptômes oculaires. L’ophtalmologue salarié est un spécialiste capable d’effectuer des chirurgies pour corriger les problèmes de vision, telles que la cataracte et la myopie. Ils doivent remplir chacune de leurs missions, pour une satisfaction de leurs patients et une ophtalmologie optimisée.

Les avantages à être un ophtalmologue salarié

Être ophtalmologue salarié présente de nombreux avantages. Vous êtes avant tout assuré d’un salaire fixe et d’une certaine stabilité financière. Être ophtalmologue salarié offre la possibilité de bénéficier d’une assurance-maladie et d’une assurance-vie. Ainsi que de nombreux autres avantages sociaux et contractuels propres aux salariés, tels que la sécurité de l’emploi, les congés payés, etc. Vous êtes libre de choisir où vous voulez vivre et où vous souhaitez exercer votre profession. Vous avez la possibilité de faire face à une clientèle diversifiée et de travailler avec une équipe de professionnels expérimentés.

En étant salarié dans un cabinet, vous êtes en mesure de bénéficier des horaires de travail flexible et de profiter de votre temps libre comme vous le souhaitez. Devenir travailleur salarié vous offre la possibilité de vous spécialiser dans un domaine particulier de l’ophtalmologie. Vous avez accès à une formation continue dans votre domaine et vous bénéficiez d’un soutien matériel, informatique et logistique pour prendre en charge vos patients. Vous pouvez suivre vos patients de façon assez régulière en consultation en ligne ou en présentiel.

Déroulement de la carrière d’un ophtalmologue et perspectives d’avenir

Un ophtalmologue peut avoir une carrière extrêmement passionnante et gratifiante. C’est un processus qui commence par une formation théorique et pratique et qui s’achève par un diplôme. Ils peuvent travailler dans différents domaines de l’ophtalmologie, y compris la rétine, les maladies oculaires, la correction de la vision et la chirurgie des yeux. Certains ophtalmologistes ont même une carrière internationale. Ils voyagent pour soigner les maladies oculaires dans de nombreux pays.

Il y a deux perspectives principales pour les ophtalmologistes salariés. La première est de rester dans le même emploi et de bénéficier de l’augmentation des revenus avec l’expérience. La seconde consiste à accepter une mutation dans un lieu plus lucratif, comme une grande ville ou une zone touristique. Ils ont également la possibilité de faire carrière dans l’enseignement ou la recherche. Les perspectives d’avenir sont donc plutôt bonnes pour ces professionnels des yeux.

Devenir un professionnel salarié est une option très intéressante si vous souhaitez faire carrière dans le domaine ophtalmologique. Vous n’avez plus qu’à trouver le cabinet qui répond le mieux à vos aspirations et vous mettre au travail.

Manager de transition

Manager de transition : les compétences clés pour réussir dans ce métier

Dans le cadre de leurs activités, les entreprises peuvent traverser plusieurs périodes plus ou moins sensibles. Il peut s’agir, par exemple, du départ d’un membre de l’équipe de direction, d’une crise interne ou encore, d’une restructuration. Dans ces circonstances, elles font appel à un manager dont le rôle sera d’accompagner la société sur une période donnée ou d’organiser la transformation de l’entreprise. Puisqu’il occupe un poste particulier, l’expert en management de transition doit justifier certaines compétences afin d’apporter un véritable plus à l’entreprise. Quelles sont donc ces compétences ?

Le professionnalisme

L’intervention d’un manager de transition consiste à soutenir la transformation de l’entreprise ou à la guider en période de crise. De manière spécifique, ses missions contribuent à :

• réduire les coûts de la structure ;

• mieux gérer et résoudre une situation sensible ;

• organiser la restructuration ou la transformation de l’entreprise ;

• mettre en œuvre un PSE (plan de sauvegarde de l’emploi) visant à éviter les licenciements au sein de la société ;

• accompagner et gérer des projets de fusion ou d’acquisition d’entreprises.

Dans tous les cas, il convient de noter que les interventions du manager sont plutôt variées et nécessitent d’avoir une solide expertise. Par conséquent, les personnes qui occupent ce poste, sont des cadres supérieurs, des dirigeants ou des gestionnaires d’entreprises. Ces personnes ont ainsi occupé des fonctions qui impliquent des responsabilités techniques et managériales. Elles pourront alors organiser une éventuelle restructuration d’entreprise ou aider la structure à sortir d’une crise. Les experts managers peuvent travailler en indépendant, en portage salarial ou au sein d’un cabinet de management de transition. En choisissant cette dernière option, vous avez d’ailleurs l’assurance de recruter un professionnel parfaitement qualifié pour diriger ou organiser votre entreprise. De même, vous pouvez recruter un manager à temps partiel, à temps partagé ou à temps plein suivant les besoins de votre structure. Enfin, ce dernier saura se rendre disponible pour la durée qui vous convient (de deux mois jusqu’à deux ans, par exemple).

La polyvalence

Dans le cadre de son activité, le responsable de la transition est amené à intervenir dans plusieurs entreprises. Il peut s’agir d’une société textile, d’un cabinet d’architectes ou d’une entreprise d’import-export. Chacune de ces structures possède ses propres spécificités en lien avec les exigences de son secteur. Les méthodes de travail et les réalités du terrain varient donc d’une entreprise à une autre. Pourtant, le manager de transition doit pouvoir s’adapter à toutes les circonstances et intervenir efficacement dans tous les domaines. Pour cela, il doit disposer de compétences techniques élargies et posséder une bonne culture des entreprises. Cette polyvalence lui permettra de proposer des solutions, non seulement efficaces, mais qui répondent aussi aux besoins particuliers de chaque structure. Par ailleurs, il existe des fonctions spécifiques que peut endosser le responsable de la transition : directeur général ou financier, responsable des ressources humaines, directeur de la communication ou encore responsable de la comptabilité. Vous recherchez un manager pour occuper un poste en particulier ? N’hésitez pas à vous adresser à un cabinet spécialisé qui pourra vous aider dans votre projet.

Le sens du leadership

Hormis le professionnalisme et la polyvalence, un bon manager doit aussi avoir un sens élevé du leadership. Cela est nécessaire, car il intervient durant une période souvent difficile ou délicate pour le personnel et la direction de l’entreprise. Pourtant, il lui revient de mobiliser les différentes équipes, de les motiver et de leur présenter les enjeux de la transformation envisagée. Qu’il s’agisse du remplacement d’un dirigeant ou de la gestion d’une crise, le manager doit pouvoir rassurer l’ensemble du personnel. Pour cela, il devra s’intégrer réellement à l’entreprise et adopter une démarche qui ne suscite aucune méfiance de ses interlocuteurs. Ce n’est qu’en agissant comme un véritable leader qu’il pourra atteindre les objectifs fixés dans les meilleures conditions.

Une bonne capacité d’écoute

En lien avec le sens du leadership, le manager doit pouvoir s’adapter à ses interlocuteurs, prendre leur mesure et définir leurs attentes à son égard. Toute attitude d’imposition est donc à bannir, surtout que le manager peut être perçu comme un intrus au sein d’un écosystème qu’il découvre nouvellement. Il lui revient d’échanger efficacement avec le personnel de l’entreprise et de prendre en compte les besoins et aspirations de chacun. De même, il doit pouvoir communiquer aisément et savoir transmettre ses messages sans difficulté.

La réactivité et le sens de la rigueur

Le responsable de la transition intervient généralement lorsque l’entreprise traverse une crise ou fait face à une situation urgente. Par conséquent, il est nécessaire d’analyser rapidement la situation et de pouvoir dégager des pistes utiles, le plus tôt possible. Dans cette optique, le manager doit pouvoir s’imprégner de l’histoire de la société concernée, de sa culture, ses valeurs morales et son mode de fonctionnement. Dès son arrivée, il n’a que peu de temps pour s’intégrer, mais cette intégration est nécessaire pour identifier et mettre en œuvre des solutions efficaces. Pour cela, il doit être très dynamique et agir avec beaucoup de rigueur en toutes circonstances. Ces différentes qualités lui permettront de réagir dans les meilleurs délais, mais aussi, de réadapter sa stratégie, si cette dernière s’avérait inappropriée, par exemple.

De l’imagination pour apporter un regard neuf à l’entreprise

Avant d’intervenir dans une société qui se positionne sur un secteur donné, il faut que le responsable de la transition soit bien informé des réalités de ce secteur. Toutefois, il serait intéressant qu’il sorte des sentiers battus pour apprécier la situation sous un nouvel angle. Il pourra alors apporter un regard neuf à l’entreprise et l’aider à orienter différemment sa vision ou à restructurer ses objectifs. Si vous songez à recruter un excellent manager pour votre entreprise, pensez à vous orienter vers un cabinet spécialisé et qui justifie d’une solide expérience dans les tâches de management.


Pourquoi choisir les ressources humaines ?

Les métiers de ressources humaines (RH) ne se cantonnent plus à la simple gestion des congés et de la paie des personnels. Secteur clé dans l’organigramme, les RH participent aujourd’hui au plan stratégique et à la compétitivité des entreprises. En cela, elles constituent un choix judicieux pour toute personne en quête d’une carrière professionnelle riche et diversifiée. Zoom sur les principales raisons de se lancer dans les métiers RH.

Les ressources humaines, késako ?

Les ressources humaines détiennent une place capitale au sein des entreprises. Elles y occupent un département à part entière lorsque la taille de celles-ci dépasse un certain seuil : une centaine de personnels dans l’industrie, une cinquantaine dans le secteur du service. Grosso modo, il revient aux RH de gérer 3 fonctions principales : l’organisation, le développement et l’administration.

 

La fonction organisationnelle : aménagement et gestion prévisionnelle des postes…

 

La fonction de développement : recrutement, formation, gestion des mobilités et des évolutions de carrière…

 

La fonction administrative : rémunération, congés, obligations et relations sociales…

 

Les RH gèrent l’humain. En ce sens, elles impulsent indirectement le degré de motivation, l’implication et l’investissement du personnel pour son entreprise (ou son cabinet). Ses choix stratégiques et administratifs participent donc massivement à la performance et au succès de la boîte. Outre les dimensions humaine et sociale, les RH tiennent donc aujourd’hui un rôle stratégique indéniable. Le recrutement est très actif dans tous les métiers du secteur. Par exemple, Internet foisonne d’offres d’emploi d’assistant des ressources humaines ou de juriste de droit social. Les RH jouissent en effet d’une immense diversité de corps de métier.

 

La diversité des métiers et les évolutions de carrière

Comme susmentionné, les fonctions RH regroupent principalement 3 grandes activités. À chacune de celles-ci s’associe un métier bien spécifique. En haut de l’échelle, il y a, bien entendu, les postes stratégiques, à savoir le responsable et le directeur RH. Ce dernier se fait généralement aider par un assistant. les missions d’un assistant RH, nombreuses, recouvrent un éventail de compétences transversales, qui pourront par la suite être mobilisées dans d’autres fonctions (perspectives d’évolution de carrière). Par la suite, les postes se spécialisent. Par exemple, pour la fonction administrative citée plus haut, on compte : le responsable paie, le juriste de droit social ou le responsable des relations sociales. La fonction organisationnelle, quant à elle, nécessite un responsable pour le recrutement, un autre pour la formation ou les relations. Les ressources humaines s’occupent et s’occuperont toujours de la gestion des salariés. Néanmoins, avec la généralisation d’Internet et des réseaux sociaux, ses responsabilités tendent à se diversifier. Les offres d’emploi abondent dans le secteur, et la diversité des postes motivent fortement les personnes en quête de polyvalence professionnelle.

 

La participation à la transformation de l’entreprise

La tendance inclusive, portée par toute une nouvelle génération, constitue un défi que les RH doivent relever. En tant que garant du droit social, le secteur RH doit pouvoir assurer le bien-être des employés dans leur singularité et leur diversité, en suivant de près les mutations sociétales (égalité entre les femmes et les hommes…). Devenus partie intégrante des modalités d’échanges, les réseaux sociaux reflètent l’image de l’entreprise et forment un puissant moyen de communication. Promouvoir les valeurs de la boîte, ses engagements et sa vision d’avenir représente un enjeu de communication de taille. De plus, la transformation digitale (papiers numérisés, e-recrutement…) pousse les employés RH à développer leur potentiel par l’acquisition de nouvelles compétences. Le marketing, par exemple, qui va permettre à l’entreprise de faire sa publicité pour attirer de nouvelles recrues. Ou le digital, avec la maitrise de logiciels, comme les systèmes d’information de gestion (SIRH). La transformation se joue ainsi à tous les niveaux et s’axe, entre autres, sur l’image de l’entreprise. Celle-ci se doit de rester compétitive et performante.

 

Le contact humain

La planète a beau se digitaliser, l’ère de la robotique n’est pas encore installée. En 2022, plus que jamais, après la pandémie mondiale de coronavirus, l’humain se trouve au centre des préoccupations. En tant que membre de l’équipe RH, vous avez la possibilité de changer l’avenir professionnel et personnel des gens. Des salariés bien managés sont en effet capables de donner le meilleur d’eux-mêmes, tout en développant une forme de fierté et d’épanouissement professionnel. Ils véhiculent ainsi une belle image de leur entreprise, et se donnent à fond pour la faire tourner. En outre, les personnels RHse situent aux premières loges de la vie personnelle des employés : leurs doutes, leurs émotions, leurs éventuels problèmes de santé (qui peuvent être plus ou moins graves) incarnent autant de préoccupations qui leur sont révélées dans un climat de confiance et de confidence. L’équipe RH, consciente de sa responsabilité, fera au mieux pour aider l’humain avant d’aider l’employé.

Jeune diplômé : trouver un emploi grâce au village de l’emploi

À l’obtention de leur diplôme, les jeunes espèrent intégrer le monde professionnel en décrochant un poste à la hauteur des études qu’ils ont effectuées. Pourtant, trouver un emploi valorisant relève parfois du parcours des combattants. Seule une minorité de ces personnes se fait embaucher. Avec l’accompagnement du village de l’emploi, elles multiplient leur chance de mettre en avant leur motivation, leur talent et leur savoir-faire.

Village de l’emploi, un véritable accompagnateur des jeunes diplômés

Les jeunes qui viennent de terminer leurs études et qui ont obtenu haut la main leur diplôme sont souvent confrontés à un problème devenu récurrent, le chômage. Certes, des recrutements d’employés en alternance, de stagiaires et de CDD (contrat à durée déterminée) font légion, mais décrocher un poste en CDI (contrat à durée indéterminée) peut s’avérer difficile. Les recruteurs semblent être frileux quant à l’idée d’engager des personnes qui manquent d’expériences. Justement, pour aider ces jeunes à démarrer leur carrière et à accélérer leur embauche, un changement de comportement des dirigeants d’entreprise est impératif. Toutefois, chaque structure ne doit pas hésiter à apporter sa contribution dans cette démarche, tel le cas du village de l’emploi.

Cette institution installée à Paris est en réalité un organisme d’accompagnement qui a pour principal objectif de guider et de chaperonner les jeunes diplômés qui aspirent à évoluer dans un métier d’avenir. Les personnes qui ont intégré cette structure bénéficient d’un apprentissage complet, aussi bien pratique que théorique, en systèmes d’information. Les cours se portent sur plusieurs matières, mais l’objectif est de former des cadres opérationnels qui répondent exactement au besoin du marché de l’emploi.

Embauche certaine après les formations

Les formations prodiguées au sein du village de l’emploi améliorent la performance et la compétence des jeunes diplômés. Ils sont immédiatement opérationnels et peuvent également en apprendre davantage sur le tas. Leur insertion en milieu professionnel ne suffit pas parce que les experts de l’institution les suivent quotidiennement. Cet accompagnement rapproché est le garant de leur efficience au sein des entreprises qui les embauchent. Les dirigeants ne craignent pas d’être déçus puisque les coachs qui les suivent servent de balises. Le risque de grosses bourdes est moindre, voire inexistant. Cette assurance n’existe pas lorsque l’entreprise engage un jeune diplômé en dehors du parcours du village de l’emploi, d’où leur réticence et leur exigence en matière d’expériences professionnelles réussies.

Les responsables au sein de cette structure étudient les besoins de ces entreprises et les missions attribuées aux futurs salariés. Après cette analyse, les détails sont fournis aux lauréats pour qu’ils sachent les attentes des recruteurs et les objectifs à atteindre. Une fois que les prétendants au poste se soient manifestés, leur intégration est discutée au préalable. Les candidats sélectionnés passent des réunions techniques. Les profils sélectionnés sont placés au sein de ces entreprises. Au cours de cette période, les jeunes diplômés actifs sont toujours accompagnés. La disponibilité permanente de ce support est un atout considérable, dans la mesure où ces nouveaux salariés acquièrent en même temps de l’expérience et des connaissances.

Les lauréats du village de l’emploi ont la chance de se faire embaucher par les entreprises partenaires. Ils n’ont pas besoin d’attendre longtemps pour trouver du travail.

Déroulement du parcours

Les jeunes diplômés qui prévoient d’intégrer le village de l’emploi doivent savoir que le parcours au sein de l’institution se déroule en deux phases distinctes, dont la formation proprement dite et la mission.

Le premier qu’est la formation dure entre 3 mois et 9 mois selon l’option choisie. Durant cette phase, les intéressés s’attellent sur des projets d’envergure qui les entraînent pour être prêts à toute éventualité lors de leur insertion en milieu professionnel. La formation se déroule en présentiel, à l’enceinte du centre qui met une connexion internet à haut débit, près de 700 ordinateurs équipés et 2 000 m² d’espace à la disposition des lauréats.

Le volet mission est l’insertion de ces jeunes dans le monde du travail. Ainsi, leur recrutement fait partie intégrante du parcours au sein du village de l’emploi.

Intégration du parcours du village de l’emploi

L’inscription au village de l’emploi est entièrement gratuite et s’effectue en remplissant un formulaire en ligne. Les personnes qui peuvent se déplacer, peuvent venir directement au bureau de l’institution. Le principal critère de sélection est l’obtention d’un bac+2, peu importe la filière, tant que la personne est motivée et prête à réussir. Les jeunes diplômés qui intègrent le village de l’emploi doivent s’impliquer à 100 %.

Les formations prodiguées sont financées par les entreprises partenaires qui, en retour, bénéficient des compétences des lauréats en leur offrant un poste au sein de leur structure.

Quels sont les emplois les plus recherchés dans l’ouest de la France ?

Chaque année, des milliers de postes restent non pourvus en raison de la forte demande par les entreprises. Vous recherchez un emploi dans oust de la France ? Découvrez les 4 secteurs qui recrutent le plus dans la région.

Les métiers de la restauration

Vous recherchez un emploi le mans, Nantes, ou Rennes et vous ne savez pas quelles sont les branches qui recrutent le plus ? Les métiers de la restauration figurent parmi les emplois les plus recherchés. Plongeur, commis de cuisine ou encore serveur, ces métiers recrutent massivement dans l’Ouest de la France. Ces personnels, indispensables dans l’industrie de la restauration, manquent cruellement à l’appel. En effet, la bonne tenue d’un restaurant ou d’un bar repose principalement sur ces personnes. Sans eux, impossible d’accueillir la clientèle dans de bonnes conditions. L’avantage, c’est que vous n’avez pas toujours besoin de qualifications ou d’expérience. Même si une expérience est toujours appréciée, vous pouvez aisément trouver un emploi de plongeur ou de serveur si vous êtes motivé mais que vous n’avez jamais exercé ce métier.

Les ouvriers dans l’agro-alimentaire

Si vous ne possédez aucune qualification et recherchez un emploi dans la région Ouest, l’industrie de l’agro-alimentaire recrute des ouvriers. La région Pays de la Loire représente le second employeur en France pour les métiers dans l’agro-alimentaire, juste derrière la Bretagne qui reste en tête. Les villes qui recrutent sont Sablé-sur-Sarthe, Mayenne ou encore Landivy. Ce secteur concerne les domaines de la production de viande, de produits laitiers, de boulangerie et bien d’autres encore. Œuvrant principalement en usine, ces ouvriers sont amenés à travailler en fonction d’horaires parfois décalées. De grands groupes sont implantés dans la région ligérienne ou bretonne et recrutent massivement. Ces régions bénéficient d’une longue tradition d’élevage.

Les aides-soignants

On estime que d’ici 2022, plus de 200 000 postes d’aides-soignants seront à pourvoir. C’est sûrement l’un des métiers les plus recherchés actuellement dans l’Ouest, mais également partout en France. Pour cause : de nombreux départs à la retraite auront lieu d’ici la fin de l’année 2021. Le vieillissement de la population est également un autre facteur important permettant d’expliquer ce phénomène. D’autres métiers du secteur des services sont concernés : cadres de santé, infirmier ou encore aide à la personne. Ce sont donc à la fois des métiers très qualifiés et non qualifiés qui sont en besoin de recrutement. Ainsi, ce sont assurément des métiers d’avenir. Si vous cherchez à entamer une carrière stable, c’est le moment de saisir l’opportunité.

Les métiers du BTP

Dans l’Ouest de la France, les chantiers liés à la création d’infrastructures et à la rénovation énergétique créent une demande importante en recrutement. Sont concernés les ingénieurs en travaux publics, les conducteurs de travaux, mais également les maçons ou encore les chefs d’équipe en bâtiment. Malgré la forte demande, les grands groupes de construction peinent à recruter. Les ouvriers qualifiés tels que les plombiers, les chauffagistes ou encore électriciens sont très demandés. Si vous êtes qualifié pour ces métiers, n’hésitez pas à vous lancer.

Recrutement RH : faire appel à une agence spécialisée

La réussite d’une entreprise repose souvent sur son capital humain. Faire une erreur de recrutement surtout sur un poste stratégique comme les RH peut effectivement avoir des conséquences désastreuses. Pourtant, il est loin d’être facile de trouver et retenir les meilleurs talents, c’est-à-dire le profil qualifié et performant. Dans ces circonstances, faire appel à un cabinet de recrutement rodé à ce genre de travail est un choix judicieux pour dénicher la perle rare.

Quel est le rôle d’une agence de recrutement ?

Un cabinet de recrutement est une agence de prestations de services. Il est composé de consultants qui ont pour mission de recruter des profils spécifiques pour l’entreprise cliente. Ces conseillers professionnels vont mener toutes les démarches de recrutement afin d’en garantir le succès. L’agence intervient pour aider les sociétés à trouver le meilleur candidat tout en mettant en œuvre son savoir-faire et ses compétences dans le domaine de recrutement. Elle constitue un allié pour l’emploi et joue un rôle d’intermédiaire entre les entreprises qui sont à la recherche de nouveaux collaborateurs et ceux qui sont en quête d’un emploi. Il a donc pour mission principale de rechercher, de sélectionner et de présenter des candidats dont leur profil est en adéquation avec le poste à pourvoir. Cliquez ici pour trouver un cabinet de recrutement spécialisé en ressources humaines, comme Boost’RH.

Les bonnes raisons de passer par un cabinet de recrutement

Comme vous savez déjà que la recherche d’un cadre supérieur sur un poste stratégique tel qu’un RH est souvent compliquée et surtout chronophage. Mais en faisant appel à un cabinet de recrutement, vous pouvez faciliter cette tâche. Il vous fera par exemple gagner un temps précieux. En effet, il dispose d’une démarche de recrutement spécifique qui permet d’identifier rapidement les candidats recherchés et d’avoir des résultats efficaces. Et puisque le temps c’est de l’argent, vous pouvez donc économiser d’argent. D’ailleurs, le coût de ce service est certainement inférieur à celui auquel vous vous exposez en réalisant vous-même ce type d’opération. Cela vous permet également de bénéficier d’un processus maîtrisé, efficace et de meilleure qualité. Cela vous donne aussi accès à de nombreux profils de grande qualité qui correspondent à votre cible. Étant donné qu’il utilise également des techniques avancées d’évaluation des candidats, le profil engagé devient donc un atout pérenne de l’entreprise qu’il a intégrée. Voici quelques avantages qu’un cabinet de recrutement peut apporter à votre organisation.

Comment trouver et choisir son agence de recrutement ?

Le choix d’une agence de recrutement doit obligatoirement reposer sur un panel de critères. Au-delà de sa notoriété et sa réputation ainsi que son ancienneté, comprendre sa stratégie de recherche est aussi primordial. En effet, ses méthodes de recrutement sont essentielles afin de trouver le candidat idéal. Pour cela, vous pouvez lui demander les moyens et les outils dont il dispose, la plateforme qu’il utilise pour diffuser les annonces… Vous devez aussi vérifier s’il assure une qualité de suivi, c’est-à-dire de bien garantir la réussite de chaque recrutement et de vous protéger en cas de recrutement raté. Mais avant tout cela, veillez à bien déterminer vos besoins et surtout votre budget.

boulangerie

5 conseils pour réussir sa reconversion en boulangerie

Si vous avez pris la décision de quitter votre ancien métier pour vous reconvertir en boulanger, ce n’est pas le fruit du hasard. Il y a bien des raisons qui vous ont poussé à le faire. Cependant, le métier de boulanger demande beaucoup d’exigences auxquelles il faut se plier pour pouvoir être une référence dans le secteur de l’alimentation. Vous vous demandez certainement comment y arriver, découvrez dans les lignes suivantes 5 conseils qui vous aideront à bien préparer votre reconversion en boulangerie.

1. Se poser les bonnes questions

Avant même de songer à obtenir votre CAP boulanger qui vous permettra d’exercer ce métier, vous devez vous poser des questions essentielles sur ce qui vous a motivé à embrasser une nouvelle carrière. On ne s’improvise pas artisan boulanger, car c’est une profession qui demande beaucoup d’implications et de sacrifices comme travailler dès l’aube et finir très tard pendant tous les jours de la semaine. Pour cela, les principales interrogations auxquelles vous devez répondre afin de pouvoir réussir votre reconversion professionnelle sont les suivantes :

  • Pourquoi avez-vous décidé de changer de métier ?
  • Pourquoi avez-vous opté pour une reconversion en boulangerie ?
  • Quelles sont vos attentes par rapport au métier de boulanger ?

Les réponses à ces questions vous permettront de vous sentir en phase avec vos aspirations professionnelles futures et de mener à bien votre projet de reconversion. Il est important de rappeler que les raisons liées à un changement de profession peuvent être extrêmement variées, car elles relèvent exclusivement de votre ressenti par rapport à vos expériences professionnelles antérieures.

2. Planifier sa reconversion en boulangerie

Une reconversion en boulangerie ou tout autre est un projet que vous devez élaborer et mettre en place en tenant compte de certaines informations. Vous devez avoir une idée bien définie sur votre avenir dans ce métierLorsque vous décidez de vous lancer en tant que boulanger-pâtissier, il est tout à fait légitime et très important de vous renseigner de manière approfondie sur l’activité en question. Ainsi, connaître la nature de votre nouveau métier de boulanger consiste à savoir :

  • Quels sont les lois et règlements en vigueur concernant cette activité.
  • Quel est le revenu moyen d’un boulanger.
  • Quels sont vos concurrents et qu’est ce qui est déjà proposé comme produits de pâtisserie.
  • Quels sont les besoins du marché, etc.

À l’issue de ces informations, vous pouvez aussi choisir la manière dont vous voulez exercer le métier de boulanger. Soit vous devenez propriétaire d’une boulangerie artisanale, soit vous travaillez comme ouvrier ou intérimaire dans une tierce entreprise. Dans tous les cas, votre choix doit correspondre à vos besoins et vos objectifs. De même, vous devez choisir le moment idéal pour quitter votre ancienne vie professionnelle afin d’éviter de mettre en péril votre situation financière et votre vie privée. Votre reconversion ne doit pas vous conduire au chômage après une courte durée, au contraire elle doit vous rendre heureux et doit répondre aux besoins du marché de façon viable.

3. Se faire former

Toute personne désireuse de pratiquer l’activité de boulanger doit nécessairement avoir un certificat d’aptitude professionnelle appelé CAP boulanger. C’est le minimum requis pour les boulangers, car c’est une activité professionnelle qui demande beaucoup de connaissances théoriques et pratiques. Ensuite, vous pouvez approfondir vos connaissances en boulangerie en obtenant le BM boulanger qui signifie brevet de maîtrise. Ce diplôme vous permet de gérer une boulangerie si vous êtes propriétaire ou si vous décidez de travailler pour un tiers. Enfin, pour la spécialisation en boulangerie, vous pouvez terminer votre apprentissage avec une MC boulanger (Mention complémentaire en boulangerie spécialisée). À la fin de son cursus, l’artisan-boulanger maîtrise la pâte à pain et toutes les techniques de viennoiserie et de pâtisserie. Il peut donc exécuter des commandes très spécifiques comme un chef et y ajouter sa touche personnelle. Par ailleurs, le boulanger doit aussi suivre une formation sur l’hygiène alimentaire et obtenir un certificat d’aptitude ou une attestation qui lui permette d’exercer légalement et sans danger. En restant toujours dans le cadre de la formation, le boulanger peut participer à des concours nationaux ou internationaux de boulangerie-pâtisserie afin de jauger son niveau.

4. Être professionnel et s’entourer d’une bonne équipe

Le travail de boulanger n’est pas chose aisée lorsque vous êtes seul et propriétaire de votre boutique. Vous devez réaliser des commandes exceptionnelles par moment, donc avoir une bonne équipe vous permet d’être efficace dans les temps de livraison et de proposer un service de qualité. Cette équipe doit être composée des professionnels du domaine qui pourront aussi vous donner des conseils et exécuter les tâches convenablement même si vous êtes absent. Votre professionnalisme doit commencer par la manière dont vous accueillez vos clients jusqu’à la livraison des commandes. Vos produits et vos matériels de travail doivent être de très bonne qualité, ce qui vous permettra d’obtenir des résultats satisfaisants. Il est aussi important de développer une image de marque autour de votre activité pour fidéliser vos clients et attirer de nouveaux prospects.

5. Apprendre des autres

Les personnes qui sont dans la même situation que vous ou qui ont déjà réussi à s’installer comme boulangers après une reconversion sont les mieux indiquées pour comprendre vos inquiétudes. Par conséquent, elles peuvent mieux vous orienter et vous soutenir dans votre projet. Leur parcours peut être très inspirant pour vous et peut vous aider à être meilleur en évitant de commettre les mêmes erreurs qu’elles. Pour cela, vous devez vous rapprocher de ces personnes soit en intégrant des clubs ou associations destinés aux partages d’expériences soit en leur demandant de vous inviter à faire des stages dans leur atelier. En côtoyant ces professionnels de la boulangerie, vous aurez une vision assez précise de ce qui vous attend durant votre parcours. Toutefois, comme mentionné plus haut, il est toujours important de se faire former dans un centre ou une école afin d’être guidé et de bénéficier d’un suivi régulier pendant et après l’apprentissage.

Diagnostiqueur immobilier : un métier qui recrute

Pour un projet de vente ou de location d’un bien, il est nécessaire de faire appel à un professionnel dans le métier pour faire des diagnostics sur la conformité des transactions. Le diagnostic permet de détecter tout vice caché du bâtiment. Il permet non seulement d’assurer la transaction immobilière mais aussi celle du bien. Les métiers d’avenir peuvent être la sécurité et la protection santé du BTP ainsi que l’ingénierie et l’étude du BTP. Le taux d’évolution de recrutement dans le domaine est de 3,7%.

L’enjeu du métier de diagnostiqueur immobilier

Pour un projet professionnel, on distingue trois types de métier dans le domaine du diagnostic immobilier. En effet, il y a le diagnostiqueur immobilier spécialisé dans la vente et dans la mise en location des bâtiments, ceux spécialisés dans le diagnostic de l’amiante et le projet de démolition. Enfin, il y a aussi ceux qui sont experts en géomètre, c’est-à-dire les spécialistes en expertise juridique. Il est aussi connu sous le nom de technicien en bâtiment, contrôleur d’immobilier, etc. En général, la fonction du diagnostiqueur immobilier est de s’assurer que tout logement mis en vente ou en location respecte les normes en vigueur en ce qui concerne l’installation de gaz, électrique et en énergie, la présence d’amiante, de termites ou de mérules. Il intervient au nom du vendeur, des notaires ou des agences immobilières. Il est en relation avec des particuliers, des professionnels comme les architectes, les notaires et aussi des entreprises btob. Lors d’une vente immobilière, la présence du diagnostiqueur est indispensable. En effet, la signature de ce dernier fait foi sur la paperasse de la transaction. La plupart du temps, il sera à rédiger plusieurs reportings dès qu’un diagnostic a été effectué. Faire des diagnostics est indispensable pour des raisons de santé et de sécurité. Il peut exercer le métier en statut indépendant, auprès d’un cabinet ou d’une franchise. Bref, les secteurs qui recrutent sont nombreux.

Diagnostiqueur immobilier : quels sont les critères d’accession au métier ?

Le diagnostic immobilier fait partie du secteur d’activité BTP. Il est ainsi nécessaire d’avoir des connaissances de base en bâtiment. Il faut également avoir une bonne capacité d’analyse en visuel, c’est-à-dire avoir une bonne visibilité et une bonne résilience. Il faut avoir le sens du détail et être méticuleux. En effet, il sera chargé de plusieurs tâches comme la réception des demandes, le suivi des dossiers des clients, l’analyse des risques, etc. L’exercice du métier demande une bonne rigueur. Il se peut que le diagnostic établi soit inexact ou erroné, à ce moment-là, il est judicieux pour le diagnostiqueur immobilier de souscrire à une assurance, notamment le RCP. L’un des critères de sélection exigé par le recruteur est la possession des certificats. C’en est une obligation pour ceux qui souhaitent s’orienter vers le métier. Il a aussi une obligation d’information en ce qui concerne le statut. Le client a le droit d’exiger un contrat d’assurance comme justificatif et d’une lettre d’attestation d’honneur. Il doit avoir une bonne condition physique, car il sera en déplacement dans différents lieux pour faire des diagnostics et même dans les bâtiments difficiles d’accès. Il doit faire une veille concurrentielle du marché et suivre les actualités sur les conditions juridiques du secteur. Il doit avoir une bonne connaissance en droit de l’immobilier, de l’urbanisme et de la construction. Il doit également être à la pointe des techniques de prélèvement, d’analyses et de métré ainsi que les méthodes énergétiques des bâtiments. Si le métier vous intéresse, vous pouvez suivre une formation de diagnostiqueur immobilier

Diagnostiqueur immobilier : un métier qui recrute

Le secteur du diagnostic immobilier est en plein boom actuellement. Ces dernières années, il a connu une forte croissance et n’a cessé de s’évoluer. C’est un secteur très dynamique qui offre plusieurs débouchés et des perspectives d’évolution. Il est très intéressé par de nombreux acteurs économiques et des investisseurs. Chaque année, on enregistre environ 900000 transactions. Selon les statistiques, le taux de croissance en 2013 était de 10,4 % pour atteindre un taux de 16 % en 2017. C’est un véritable levier de croissance. En 2019, une révision sur le métier a été mise en place. En effet, il est d’obligation d’avoir un certificat pour pouvoir exercer l’activité. À cet effet, il faut suivre une formation diagnostiqueur immobilier d’une durée de 7 ans. La loi Élan prévoit également une révision du DPE sur les méthodes de calcul. Le but, c’est que le DPE puisse avoir une valeur juridique et non une simple information. Le domaine du diagnostic immobilier fait un déploiement massif en ouvrant de nombreuses agences et de renforcer la formation afin de faciliter aux chercheurs d’emplois l’accès au métier. Les débouchés sont très variés. L’horaire de travail est flexible qui attire de plus en plus les jeunes. Certains recruteurs exigent aux postulants la possession de 6 certificats au minimum, garantissant leur compétence dans le métier. Le diagnostiqueur a pour mission de faire un diagnostic de logement en termes de gaz, d’amiante, d’électricité, etc.

S’orienter vers le diagnostic immobilier : formations et études

L’accès au métier de diagnostiqueur immobilier nécessite un diplôme en bac +2 dans le domaine de l’immobilier, du bâtiment et dans le domaine de l’énergétique. Il faut également être diplômé dans la filière du BTS ou en DUT dans les filières de génie civil. On peut ainsi s’initier dans l’énergétique et environnementale des BTP. Depuis 2017, la condition d’exercice de cette activité est conditionnée par l’obtention d’un certificat. Cela permet de garantir la compétence du diagnostiqueur dans l’analyse des produits en la matière comme le gaz, l’électricité, les termites, le plomb, etc. Pour pouvoir obtenir un certificat dans le secteur, il est nécessaire de suivre une formation auprès d’un centre disposant d’une accréditation de Cofrac et certifié RGE pendant 5 ans au minimum. Il est également possible de suivre une formation continue en diagnostic immobilier en se renseignant auprès des différents organismes de formation en ligne. Il en existe plusieurs dans divers départements de France, aux gens de bien les choisir. Néanmoins, la formation est accessible pour tous, car elle n’exige aucun diplôme. Avant de choisir le centre de formation, il faut également vérifier le mode de formation et les modules de formation. En effet, il doit proposer des modules complets concernant le métier comme le DPE, le CRPE, etc.

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